vendredi 30 septembre 2011

Le théâtre de Sartrouville à Montesquieu


Ce serait vraiment intéressant de rendre compte de l'intervention de la scénographe Stéphanie Mathieu dans notre classe et aussi de la petite forme portée par Amaury de Crayencour, L'Opéra d'un sou. Qui s'en charge?

mardi 27 septembre 2011

Aujourd'hui, mardi 27 septembre 2011



Aujourd'hui, mardi 27 septembre 2011


Nous avons commencé la séance dernière, comme toutes les séances dernières, par le traditionnel journal de bord. Ce n'est qu'après, une fois bien conscient que nous étions en théâtre et avec en mémoire ce que nous avions déjà fait, que nous avons participé à une expérience étrange. Nous ne savions pas vraiment ce que nous allions faire. Jean-Paul lui-même ne paraissait pas très sûr. Mais, malgré tout, en bons élèves de théâtre, nous n'avons pas hésité; nous étions déjà debout, prêt à exécuter n'importe quoi. Tout d'abord, il s'agissait de marcher de plus en plus lentement, trouver un rythme en commun avec nous autres, blocs de matière ambulants; une fois ce rythme acquis, nous sommes entrés dans la forêt. Jean-Paul nous racontait une histoire, la nôtre. Et nous le vivions en direct, au fil de ses mots. L'ambiance, comme nous l'a fait remarqué Madame Dubarry, se rapprochait du conte. Pour mon compte, je pensais à Hansel et Gretel. Je parvenais à imaginer la forêt, l'obscurité et cela m'effrayait vraiment. Lorsque nous sommes rentrés dans la maison abandonnée, à l'odeur bizarre et aux images familières, je ne voulais même pas m'endormir, de peur qu'une personne surgisse et me fasse griller dans le feu que je venais d'allumer. J'imaginais la situation, mais je m'y sentais détaché; je remarquais bien que la cheminée n'était rien d'autre qu'un radiateur dans un Lycée. Je ne suis pas entièrement rentré dans l'exercice, mais je l'ai tout de même trouvé pertinent. Quand, à la fin, nous étions à terre, comme une autre matière, et qu'il fallait sortir nos phrases de L'Acte Inconnu, elles venaient vraiment de quelque part. D'où, je ne sais pas. Mais de quelque part, assurément. Je pouvais sentir ma phrase: "Ô mort, ne pète pas si haut ta victoire."; phrase choisie au hasard que j'apprécie beaucoup par ailleurs.


Ensuite, avec nos phrases, nous devions interagir avec les autres et leurs phrases. Ce que nous disions, après tout, ne comptait pas. Ce qui avait de l'importance, c'est ce que nous faisions dire à ces mots. Pris dans l'énergie, cela prend du sens. J'ai beaucoup aimé cette exercice, et je me voyais bien continuer des heures ces dialogues qui ne tournaient pas en rond. La révélation de la séance fut que nous étions tous de la matière, sur scène, avec du Verbe dedans, et que nous mixions le tout. Cela me va.


L'exercice suivant était celui que nous avions préparé chez nous: interpréter les personnages de la pièce de Novarina, sachant que certains noms éveillent plus une image qu'un sens concret. Ce fut un exercice très intéressant, puisqu'il s'agissait sans cesse d'avoir une idée, de réfléchir sur ce qu'invoquaient en nous les mots de l'auteur, et je réalise qu'un comédien peut faire beaucoup de chose avec les mots. En vrac, je me souviens de l'enfant qui mord le sol de Louise qui, machiavélique, se moquait de nous qui ne mangions pas le sol; des hommes à triple base; de l'accouchement compliqué de Nicolas Lorange (Louis étant peu convaincu de l'intérêt de la naissance); d'un enfant celluloïd particulièrement atteint; d'une goûteuse peu satisfaite, etc...Nous avons souvent repris l'exercice pour le peaufiner.


Nous avons parlé du fait que nous pouvions faire surgir des passages des trois oeuvres au programme instinctivement, en collant des morceaux avec des similitudes qui pourraient facilement se suivre; nous avons également parlé de cette histoire de matière, en donnant l'exemple que des personnes pourraient être une rivière, Ophélie couler dessus, et que cela serait une sorte de réminiscence de Cassandre, elle verrait cette mort et ce serait un souvenir, un fantasme un rêve. J'aime l'idée que les oeuvres peuvent communiquer entre elles, de les cuisiner ensemble.


À la fin, nous avons fait un exercice qui consistait à...Je ne sais pas trop. Jean-Paul, encore une fois, ne savait pas trop. Mais nous avons quand même tous fait avec ce pas trop pour construire quelque chose ensemble. Il y avait trois groupes. Mon groupe a construit une sorte de statue de plusieurs corps, nous disions nos phrases puis nous essayions de jouer avec, au final le résultat fut vraiment pertinent, une situation se créait et nous racontions une histoire.


Voilà tout pour ce mardi.

dimanche 25 septembre 2011

Jounal de bord - Mardi 20 septembre

Cette seconde séance de l'année a débuté par l'intervention de Ludovic du théâtre de l'Apostrophe. Comme l'avait fait Dolly la semaine dernière, il nous a présenté les spectacles que nous allions voir pendant l'année. Il nous a également présenté d'autres pièces susceptibles de nous intéresser. Plusieurs d'entre elles m'ont donné envie de les voir comme Gardenia, jouée par d'anciens travestis, ou encore une pièce sur la Vénus Noire : Have you hugged, kissed and respected your brown Venus today ?, et aussi une histoire d'amour vécue par des enfants : Quand j'avais 5 ans je m'ai tué. J'ai trouvé l'intervention de Ludovic intéressante car nous avons pu bénéficier d'informations complémentaires sur les spectacles au programme, mais aussi sur les autres montés à l'Apostrophe. Il nous a présenté la pièce de Wajdi Mouawad, Des Femmes, regroupant trois tragédies de Sophocle : Antigone, Electre et les Trachiniennes. Nous avons appris que Bertrand Canta avait participé à la bande-son rock, ce qui nous a tous surpris. Il nous a aussi parlé de la pièce Du moins, j'aurais laissé un beau cadavre, qui est une version d'Hamlet montée par Vincent Macaigne. Cette version apparemment violente et "trash" me tente beaucoup !

Après cette première heure, Mme Dubarry nous a annoncé que le mercredi 28, nous aurons la chance de rencontrer Stéphanie Mathieu, la scénographe de l'Opéra de Quat'sous. Nous assisterons ensuite à une petite forme sur cette pièce. Après la lecture des journaux de bord très complets d'Emilie et Océane, nous avons écouté des musiques de Kurt Weil tirées de l'Opéra de Quat'sous. Allongés par terre les yeux fermés, nous avons été transportés dans l'univers brechtien, avec une pointe de nostalgie quand est passé "Le Chant des canons". Cela m'a replongé dans notre spectacle de l'an dernier et c'était très agréable.

Afin de nous réveiller un peu, Mme Dubarry nous a proposé le jeu du "chat". On désigne un chat qui doit toucher le plus de personnes possible. Ces dernières, pour ne pas être éliminées, doivent dire le nom d'une autre "souris" avant d'être touchées par le chat. La personne dont le nom a été prononcé devient à son tour le chat. Malgré son aspect enfantin, ce jeu est très intense moralement et physiquement car il demande une grande concentration pour les prénoms et les déplacements. Après une lutte acharnée, Bovi, Nico et moi avons fini finalistes.

Pour continuer dans cette énergie, nous avons fait un "Lucky-Luke" (ou un "Pan"). En cercle, nous devions éliminer nos adversaires en leur tirant dessus le plus vite possible. Après un grand nombre de "pan !", Laëticia et moi avons été les seules survivantes.
Pour finir cette séance, nous avons tous choisi une phrase de Novarina dans l'Acte inconnu. En cercle, nous l'avons répétée chacun notre tour de plusieurs façons comme "parler à un sourd", en colère, en chantant, en séducteur et en dictateur.

vendredi 23 septembre 2011

"Au moins j'aurai laissé un beau cadavre"

Madame Dubarry nous avait parlé d'un spectacle de Vincent Macaigne : "Au moins j'aurai laissé un beau cadavre" qui sera représenté au théâtre de Chaillot à Paris. Je vous propose qu'on y aille en groupe, par exemple  le dimanche 6 Novembre à 14h30.
Les tarifs (si l'on y va en groupe) sont : 11€ pour les -18ans, et 13€ pour les 18-25ans.
Qui est intéressé ?
Voici le lien : http://theatre-chaillot.fr/theatre/vincent-macaigne/au-moins-j-aurai-laisse-un-beau-cadavre

Il faudrait qu'on réserve au plus vite !

mercredi 21 septembre 2011

Mardi 20 septembre

Aujourd’hui, un intervenant du théâtre de l’apostrophe est venu nous présenter les spectacles que nous allons voir au cours de l’année, ce qui n’était apparemment pas prévu. Je trouve vraiment intéressant qu’on vienne nous parler de ces spectacles et de ceux que nous n’avons pas prévu d’aller voir dans le cadre du lycée, car personnellement, cela me donne encore plus envie d’y aller. J’aime beaucoup le fait que les théâtres proposent des spectacles mettant en scène différentes disciplines, et je suis très curieuse de voir des spectacles autres que des pièces de théâtre.
Apres cela, nous avons lu les journaux de bord de Océane et Emilie, très complets, qui détaillaient la première séance de cette, je l’espère, dernière année.

Madame Dubarry nous a par la suite fait allonger par terre, de façon à se détendre, afin de pouvoir apprécier (ou non) pleinement les quelques chansons de l’Opéra de Quat ’sous qu’elle nous a fait écouter. Je dois dire qu’en entendant le Chant des Canons, cela m’a fait tout drôle, et je sais que je ne suis pas la seule. Comme je l’ai dit ensuite, en entendant ces musiques, j’avais l’étrange impression d’être dans une sorte de cours des miracles, cela ‘’dépayse’’ totalement.

Apres la pause, Madame Dubarry nous a proposé un chat, pour notre plus grand plaisir à tous. Le jeu du chat ne nous était pas inconnu, car nous l’avons beaucoup pratiqué l’année dernière, et il ne faut pas se fier à son nom, c’est un exercice assez important, car il est basé sur l’écoute. En effet, le jeu consiste à désigner un chat pour toucher le maximum de personnes possibles, lesquelles lorsqu’elles s’apprêtent à être touchée doivent dire le nom d’une personne si possible le plus loin possible qui va devenir chat à son tour. Il faut vraiment beaucoup de concentration pour ne pas être éliminé dès le début, mais cela reste vraiment une partie de plaisir. Madame Dubarry voulait ensuite nous faire faire des petites improvisations par groupe, mais nous avons à la place suggérer le jeu du bang, également très pratiqué l’année dernière. Cet exercice se passe en cercle, une personne au milieu cite le nom d’une personne qui doit se baisser, incitant les deux personnes a ses cotés à se ‘’tirer’’ dessus et à dire BANG le plus vite possible. C’est également un exercice de concentration et d’écoute, qui est très agréable.

Pour terminer la séance, nous avons tous choisis une phrase au hasard dans L’acte Inconnu de Novarina, puis nous nous sommes mis en cercle. Madame Dubarry nous donnait une consigne de jeu, et nous devions tour à tour dire notre phrase selon la consigne donnée. Nous avions déjà fait cet exercice l’année dernière avec des phrases données, mais il y a une très grande différence avec l’année précédente, maintenant, tout le monde ose et se donne à fond, ce qui est vraiment super ! Nous avons commencé par dire notre phrase comme si la personne en face ne comprenait rien, puis avec un air de séduction, ensuite, en étant en colère, puis en chantant (ce qui est ma partie favorite, car le résultat est vraiment, vraiment très drôle), ce qui d’après Madame Dubarry, a révélé certains talents cachés chez certains.

Journal de bord du mardi 13 septembre 2011

A l’occasion du premier cours de théâtre de l’année, Jean-Paul nous a fait la surprise d’être là alors que nous ne devions le voir que la semaine suivante. Chacun ayant lu la pièce de Novarina, L’Acte inconnu, pendant les grandes vacances, nous avons commencé de suite à l’exploiter pour commencer à travailler.

La séance a débuté sur la lecture d’un passage de Devant la parole, texte théorique de Novarina à propos de son théâtre. Nassim a essayé le premier avec la consigne d’être “capable d’investir de la matière verbale physiquement et émotionnellement”, sur laquelle repose l’ensemble de la thèse dramaturgique de l’auteur aisni que notre projet de travail sur son oeuvre. Au centre de nous-tous, Nassim a joué avec sa lecture en s’inspirant plus ou moins d’un genre de général allemand, en écho à notre projet de l’an passé. Ses nombreux gestes et onomatopées ont ainsi dynamisé un texte simplement théorique. C’est ensuite Manon Catinat qui a tenté l’expérience avec la recherche d’un défaut physique. Cela-dit, l’instabilité de la démarche qu’elle proposait s’est finalement révélée un peu moins intéressante que sa seconde proposition dans laquelle elle nous offrit un jeu beaucoup plus intimiste, à genoux, sur le désespoir. En complétant avec l’intervention de Louis sur le clown qui a suivi, cet exercice nous a permis de démontrer l’importance du corps et de l’attitude physique dans le jeu, dans l’idée que la parole n’est “que de la matière”, un outil.

Nous avons ensuite pratiqué un exercice sur la circulation entre les états (amour, colère, folie et tristesse) représentés par quatre personnes servant se supports à celle qui jouait. Océane commença avec une phrase tirée de L’Acte inconnu, son jeu était très dynamique et clair selon chaque état, le conseil qui lui a été fait était de laisser l’énergie travaillée sur un support la propulser naturellement vers les autres, comme un “acrobate des sentiments”. Le résultat de cet exercice a montré l’importance des variations et du laisser-aller dans dans le jeu, et plus précisément les nombreux états accordables avec une meme phrase.

Deux groupes ont après ça pratiqué l’exercice d’introspection sur un évènement dramatique. Le principe était de s’imprégner au maximum de ses émotions pour les exploiter dans notre jeu, qui gagne alors une plus grande justesse. Les phrases prononcées dans cet exercice doivent tout de même être suffisamment longues pour donner du sens à notre état, de manière à “porter une situation de la vie à son paroxysme” comme avait dit Claudel.

Pour finir les deux premières heures, nous avons pratiqué l’exercice de la “machine”, du roulement entre quatre rôles, ou états, chacun chargé de voler la vedette à l’autre. Il y a alors quatre perosnnes jouant à tour de rôle un bonimenteur, quelqu’un qui meurt, un grimacier et un monster. Cela nous permet d’exploiter plusieurs états très différents à la suite, tout en allant au bout de notre énergie : on voit alors qu’il faut se montrer généreux dans son jeu.

La séance s’est achevée avec l’intervention de Dolly, du théâtre de Sartrouville, qui est venue nous présenter les pièces que nous allions voir dans l’année : L’Opéra de quat’sous, Les Amours tragiques de Pyrame et Thisbé, Gemelos et Du Goudron et des plumes.

dimanche 18 septembre 2011

Séance du Mardi 13 Septembre 2011

Jean Paul a débuté cette première séance par la lecture d'un extrait de Devant la parole écrit par Novarina. Cet ouvrage a pour but de nous faire comprendre la notion même du théâtre. Jean Paul nous a expliqué que la parole n'est que matière. Il ne faut pas penser mais être capable de retranscrire de la matière verbale physiquement et émotionnellement. Il nous proposa alors d'essayer d'atteindre cet état de jeu en utilisant un passage de ce livre qui nous était inconnu. Nassim fut le premier à se lancer. Son interprétation fut proche du travail entrepris l'année précédente. En effet, il avait choisi de prendre un accent allemand, d'un dictateur loufoque. Son jeu occupait beaucoup l'espace et sa gestuelle. Son texte était très dynamique et on ressentait son énergie. Je l'ai trouvé audacieux car il s'agissait de la première séance, et qu'il était difficile de reprendre soudainement les exercices. La deuxième prestation fut celle de Manon Catinat. Dans un tout autre genre, elle opta pour un personnage plus mélancolique ayant un handicap physique. Contrairement à Nassim, elle se mit à genou ce qui la rendait attendrissante. Nous éprouvions de la compassion. Enfin, Louis fut le dernier à expérimenter cet exercice. A la demande de Jean Paul, il interpréta ce texte de manière burlesque avec un personnage de clown enrhumé. Il reniflait souvent et jouait beaucoup de sa maladie. Nous avons pu voir à travers ces trois personnages très différent les uns comme les autres, qu'un même texte peut transmettre différents messages. C'est le jeu qui l'emporte sur les paroles. L'énergie est donc primordiale. Et je pense qu'il faut savoir assumer son personnage à fond pour que les spectateurs y croient également. Il ne faut pas jouer le personnage mais le devenir.
Le second exercice engageait une personne et quatre silhouettes. Chacune d'entre elles était disposée à chaque angle, et symbolisée soit l'amour, la haine, la folie ou la tristesse. Une personne se situait au centre. L'exercice consistait à se diriger vers l'une d'entre elle, et d'interpréter le sentiment qu'elle symbolisait. Louise nous a beaucoup fait rire avec la folie. En effet, elle utilisait les silences et en profitait pour se concentrer sur ses gestuelles. Ensuite, nous avons vu pour la première fois Clémence jouait. Son jeu était formidable car elle a montait chacun de ses états a son extrême. Puis Nassim revint sur le plateau. Sa prestation était aussi remarquable. Mais je pense que l'on doit progressivement monter son énergie car Nassim s'est très vite fatigué. L'objectif de cet exercice consistait de passer d'un état à un autre sans avoir le temps de réfléchir. Il faut se relâcher entièrement, monter progressivement son énergie puis la transmettre d'un état à un autre sans interruption.
Le troisième exercice nous était connu. Plusieurs chaises étaient disposées sur le plateau. Nous devions nous remémorer un triste souvenir et dire une phrase qui appartenait à notre histoire. Des phrases pouvaient se correspondre et on pouvait alors former une histoire. Toutefois, il fallait que cela se passe naturellement et ne pas chercher à créer une histoire en commun. Cet exercice n'a pas vraiment été réussi car dès le début, nous avions pour but de créer une histoire en commun alors que ce n'était pas le principe. De plus, il peut être difficile et douloureux de se rappeler un souvenir aussi mélancolique.
L'exercice suivant nécessitait quatre élèves. Chacun d'entre eux représentait soit un bonimenteur, un monstre, la mort ou un grimacier. Chacun devait s'attribuer le plus la vedette et être donc le meilleur de sa catégorie. Cette activité recommande beaucoup d'énergie et nous en ressortions épuisés. Toute la classe est intervenue sur le plateau. Je pense qu'il nous a permis de nous initier à nouveau dans le théâtre, de reprendre confiance en nous.
Lors de la dernière heure, Dolly, l'intervenante du Théâtre de Sartrouville chargée des relations publiques, est venue nous parler des spectacles que nous allons voir cette année. Elle nous a présenté chacune des pièces avec un cours résumé et une courte biographie sur l'auteur ou le metteur en scène. Je trouve que c'est une bonne approche pour commencer l'année de savoir quelques détails sur les différents spectacles pour mieux les comprendre.

samedi 3 septembre 2011

Rentrée!


Bonjour à tous et à toutes!
Nous voici au tout début de cette nouvelle année de théâtre, avec un beau programme, ambitieux, diversifié, avec des oeuvres fortes .
De votre part, beaucoup d'envies sûrement...
En théorie, nous commencerons avec Agamemnon d'Eschyle (traduction Ariane Mnouchkine :Théâtre du Soleil). je pense que vous avez déjà acheté le livre, si ce n'était pas le cas, précipitez vous pour le faire et surtout, ne vous trompez pas d'édition!!!!
Et en pratique avec Novarina, L'Acte inconnu (folio théâtre 117). Nous commençons à travailler sur les livres très vite. Faites passer le message.
Donc à très bientôt et bonne rentrée à tous.
Lorraine